Décembre 2006 - Cartagena de las Indias, Islas San Blas
C'est en décembre que Marinette quitte le bord, pour rentrer en Belgique et reprendre le travail. Elle avait pris une année de congé sabatique. Le voyage restera en tête bien sûr ... d'autant que Christian, lui, poursuit la navigation pour quelques mois. L'endroit où ils se rejoindront n'est pas encore très défini....
Christian poursuit alors le récit. Après le départ de Marinette, l'amie Nathalie le rejoint à bord pour 2 semaines de vacances. Nous l'avions rencontrée à St Malo lors de la rénovation de Petrushka. Elle est aussi venue aider Christian en août 2005 lors de sa descente vers la Bretagne qui fut difficile. Elle a un bateau, elle aime la navigation, ce sera un super équipier pour Christian qui se retrouve seul pour la première fois.
C'est en décembre que Marinette quitte le bord, pour rentrer en Belgique et reprendre le travail. Elle avait pris une année de congé sabatique. Le voyage restera en tête bien sûr ... d'autant que Christian, lui, poursuit la navigation pour quelques mois. L'endroit où ils se rejoindront n'est pas encore très défini....
Christian poursuit alors le récit. Après le départ de Marinette, l'amie Nathalie le rejoint à bord pour 2 semaines de vacances. Nous l'avions rencontrée à St Malo lors de la rénovation de Petrushka. Elle est aussi venue aider Christian en août 2005 lors de sa descente vers la Bretagne qui fut difficile. Elle a un bateau, elle aime la navigation, ce sera un super équipier pour Christian qui se retrouve seul pour la première fois.
Carthagena Islas San Blas - 210 miles du 13 décembre 2006 au 7 janvier 2007.
Le mardi 12 au soir, avec 3 jours de retard, arrivée de Nathalie très fatiguée (problèmes de visa et de surbooking à Paris !). Le lendemain, je lui fais visiter les plus beaux endroits de Carthagène que je connais et on en découvrede nouveaux. Cette ville au passé légendaire mérite un séjour prolongé. A la beauté des lieux, s’ajoutent l’accueil et la gentillesse des Colombiens et Colombiennes (dont la beauté et l’œil rieur est un piège facile pour un homme seul). Nathalie se régale de cet exotisme, de l’ambiance des ruelles bondées de monde, d’étals aux jus de fruits frais et à midi d’un petit repas dans un resto local. Mais le temps nous est compté et le jeudi 14 dans l’après midi nous levons l’ancre pour les Iles St Blas au large de la côte du Panama à 80 Nautiques du Canal du même nom.
Météo peu favorable, vent faible de SO virant lentement par le N et ensuite NE. Nous avançons très lentement 2/3 nœuds sur une mer calme avec une longue houle qui fait rouler Petrushka sur chaque bord, très inconfortable. Fatigue ou roulis ? Nathalie dort beaucoup, notre croisière sera longue, 56h dont trois nuits en mer, mais au matin du 3ème jour, c’est l’émerveillement.
Première île a l’Est, Isla Puyadas, on y accède entre deux bancs de récifs sur lesquels les rouleaux de mer viennent s’écraser avec fracas. L’île est couverte de cocotiers, plages de sable blanc, eaux dont les couleurs couvrent toute la gamme des bleus, ce paysage et le bruit du récif créent un climat magique. Prudemment, très lentement, on s’approche en évitant les patates de corail, l’équipière à l’avant est bien utile. On ancre, quel calme, pas un mot à bord, on regarde, on savoure.
Très vite l’envie d’un plongeon nous appelle, l’eau est à 28°, transparente, l’ancre est bien crochée.
On restera 2 jours sur cette île, on y fait la rencontre d’une famille Kuna chargée de l’entretien de la cocoteraie, ressource importante pour la collectivité des indiens Kuna. Ils sont parfaitement organisés, les familles habitent sur Isla Tigre et ils se relaient tous les 15j sur la multitude de petite îles pour y planter coco et bananiers. De petits sentiers traversent ces îles, on a l’impression de se promener dans un jardin botanique, beaucoup de variétés de plantes, et des fleurs. Il en est ainsi pour tout l’archipel des St Blas, plus de 350 îles et îlots habités ou non mais parfaitement entretenus.
Le mardi 12 au soir, avec 3 jours de retard, arrivée de Nathalie très fatiguée (problèmes de visa et de surbooking à Paris !). Le lendemain, je lui fais visiter les plus beaux endroits de Carthagène que je connais et on en découvrede nouveaux. Cette ville au passé légendaire mérite un séjour prolongé. A la beauté des lieux, s’ajoutent l’accueil et la gentillesse des Colombiens et Colombiennes (dont la beauté et l’œil rieur est un piège facile pour un homme seul). Nathalie se régale de cet exotisme, de l’ambiance des ruelles bondées de monde, d’étals aux jus de fruits frais et à midi d’un petit repas dans un resto local. Mais le temps nous est compté et le jeudi 14 dans l’après midi nous levons l’ancre pour les Iles St Blas au large de la côte du Panama à 80 Nautiques du Canal du même nom.
Météo peu favorable, vent faible de SO virant lentement par le N et ensuite NE. Nous avançons très lentement 2/3 nœuds sur une mer calme avec une longue houle qui fait rouler Petrushka sur chaque bord, très inconfortable. Fatigue ou roulis ? Nathalie dort beaucoup, notre croisière sera longue, 56h dont trois nuits en mer, mais au matin du 3ème jour, c’est l’émerveillement.
Première île a l’Est, Isla Puyadas, on y accède entre deux bancs de récifs sur lesquels les rouleaux de mer viennent s’écraser avec fracas. L’île est couverte de cocotiers, plages de sable blanc, eaux dont les couleurs couvrent toute la gamme des bleus, ce paysage et le bruit du récif créent un climat magique. Prudemment, très lentement, on s’approche en évitant les patates de corail, l’équipière à l’avant est bien utile. On ancre, quel calme, pas un mot à bord, on regarde, on savoure.
Très vite l’envie d’un plongeon nous appelle, l’eau est à 28°, transparente, l’ancre est bien crochée.
On restera 2 jours sur cette île, on y fait la rencontre d’une famille Kuna chargée de l’entretien de la cocoteraie, ressource importante pour la collectivité des indiens Kuna. Ils sont parfaitement organisés, les familles habitent sur Isla Tigre et ils se relaient tous les 15j sur la multitude de petite îles pour y planter coco et bananiers. De petits sentiers traversent ces îles, on a l’impression de se promener dans un jardin botanique, beaucoup de variétés de plantes, et des fleurs. Il en est ainsi pour tout l’archipel des St Blas, plus de 350 îles et îlots habités ou non mais parfaitement entretenus.
Après deux journées, nous quittons vers Isla Tigre pour y rencontrer la population et le Saila, chef du village et des îles proches. Il est important de payer une petite taxe symbolique et recevoir l’autorisation de visiter les îles qui sont sous son contrôle, d’offrir un petit cadeau de bienvenue, un bic, une tasse, du sucre, un livre , une revue, c’est surtout le geste qui compte.
A nouveau une entrée difficile parmi de nombreux récifs, on ancre en face du village à 50m du rivage.
Déjà les nombreux enfants se sont groupés, crient, nous font signe. Fin de journée on débarque, le Saila est absent, mais au Congresso, siège social du village, un habitant note le nom de Petrushka et nos deux prénoms, nous fait grâce de la taxe et reçoit notre petit cadeau, nous sommes admis chez les indiens Kunas. On parcourt le village avec une foule d’enfants à nos basques. Ils sont très bruyants !Ils sont beaux, quels yeux rieurs, pour les filles de beaux cheveux lisses brun-roux, ils sont curieux, nous touchent , nous appellent par nos prénoms puis éclatent de rire, ils veulent des photos et c’est la joie lorsqu’ils se voient sur le petit écran du numérique, quel regret de ne pouvoir leur offrir en cadeau la photo imprimée.
Devant les cases il y a les femmes, richement vêtues de molas et bracelets aux chevilles et poignets. Avec beaucoup de patience, elles cousent des molas, une aiguille, du fil et une superposition de tissus aux motifs découpés pour arriver à des compositions splendides. Un mois de travail pour un mola vendu à 10 dollars US! Mais les plus chers valent 40 dollars et plus.
A nouveau une entrée difficile parmi de nombreux récifs, on ancre en face du village à 50m du rivage.
Déjà les nombreux enfants se sont groupés, crient, nous font signe. Fin de journée on débarque, le Saila est absent, mais au Congresso, siège social du village, un habitant note le nom de Petrushka et nos deux prénoms, nous fait grâce de la taxe et reçoit notre petit cadeau, nous sommes admis chez les indiens Kunas. On parcourt le village avec une foule d’enfants à nos basques. Ils sont très bruyants !Ils sont beaux, quels yeux rieurs, pour les filles de beaux cheveux lisses brun-roux, ils sont curieux, nous touchent , nous appellent par nos prénoms puis éclatent de rire, ils veulent des photos et c’est la joie lorsqu’ils se voient sur le petit écran du numérique, quel regret de ne pouvoir leur offrir en cadeau la photo imprimée.
Devant les cases il y a les femmes, richement vêtues de molas et bracelets aux chevilles et poignets. Avec beaucoup de patience, elles cousent des molas, une aiguille, du fil et une superposition de tissus aux motifs découpés pour arriver à des compositions splendides. Un mois de travail pour un mola vendu à 10 dollars US! Mais les plus chers valent 40 dollars et plus.
Les 2 heures passées dans ce village ont été riches de rencontres, le contact est simple malgré mon espagnol sommaire.
On regagne Petrushka avec un lot de langoustes, pour un savoureux souper.
Le lendemain on quitte vers Coco Bandero, un ensemble d’îlots dans le NE. On zigzague parmi les îles et îlots tous surmontés de cocotiers, c’est incroyable comment cet arbre peut s’adapter au moindre coin de sable ou de corail et grandir majestueusement au dessus des flots bleus. Parfois même une paillote y est construite, de loin on dirait qu’elle flotte sur l’eau, entourée de sable blanc et de son cocotier : c’est une vision de paradis. Face à Coco Bandero c’est le désenchantement…. Plus de 15 voiliers au mouillage, on continue vers le chapelet suivant : Les Green Islands, on y trouve une petite île, isolée sans voilier, ni occupant. Pas facile d’y trouver l’accès mais Nathalie se régale, l’expérience des Minquiers et Iles Chaussey (sa Bretagne) refait surface, lentement on mouille à 50m du rivage sur fond de corail blanc dans un lagon calme. Plongeon vers la plage, on repère l’endroit du barbecue sur lequel ce soir on fera griller nos langoustes achetées dans la journée à une pirogue. Encore un étonnement de plus que ces pirogues creusées d’une pièce dans un gros tronc d’arbre, surmontées d’un bambou, d’une voile latine, d’un minuscule petit foc, la pagaie sert de gouvernail, les Kunas, toute la famille et même chien et chat, s’en servent pour se déplacer entre les îles . Quel repas, on se régale des langoustes grillées sur le feu de bois, on se baigne et se promène sur la plage sous les étoiles. Je regagne Petrushka à la nage en pleine nuit après avoir dormi à côté du feu.
On regagne Petrushka avec un lot de langoustes, pour un savoureux souper.
Le lendemain on quitte vers Coco Bandero, un ensemble d’îlots dans le NE. On zigzague parmi les îles et îlots tous surmontés de cocotiers, c’est incroyable comment cet arbre peut s’adapter au moindre coin de sable ou de corail et grandir majestueusement au dessus des flots bleus. Parfois même une paillote y est construite, de loin on dirait qu’elle flotte sur l’eau, entourée de sable blanc et de son cocotier : c’est une vision de paradis. Face à Coco Bandero c’est le désenchantement…. Plus de 15 voiliers au mouillage, on continue vers le chapelet suivant : Les Green Islands, on y trouve une petite île, isolée sans voilier, ni occupant. Pas facile d’y trouver l’accès mais Nathalie se régale, l’expérience des Minquiers et Iles Chaussey (sa Bretagne) refait surface, lentement on mouille à 50m du rivage sur fond de corail blanc dans un lagon calme. Plongeon vers la plage, on repère l’endroit du barbecue sur lequel ce soir on fera griller nos langoustes achetées dans la journée à une pirogue. Encore un étonnement de plus que ces pirogues creusées d’une pièce dans un gros tronc d’arbre, surmontées d’un bambou, d’une voile latine, d’un minuscule petit foc, la pagaie sert de gouvernail, les Kunas, toute la famille et même chien et chat, s’en servent pour se déplacer entre les îles . Quel repas, on se régale des langoustes grillées sur le feu de bois, on se baigne et se promène sur la plage sous les étoiles. Je regagne Petrushka à la nage en pleine nuit après avoir dormi à côté du feu.
Le lendemain, on découvre l’île en longeant sa plage Sous le Vent et Au Vent. Le contraste est frappant, sous le vent, cocotiers droits heureux, plage de sable blanc, tout est calme.
Au vent, cocotiers couchés au ras des flots, tourmentés, barrière de corail, le récif qui arrête en gros rouleaux la mer, le vent frais.
J’ai passé des heures délicieuses à faire le tour de cette île, j’y serais resté beaucoup plus longtemps avec le projet d’y nettoyer tous les déchets plastiques. Quel coup de foudre, elle n’a pas de nom d’après les pêcheurs, mais désormais c’est pour moi, l île Petrushka, une petite plaque discrète sur un palmier en témoigne.
Au vent, cocotiers couchés au ras des flots, tourmentés, barrière de corail, le récif qui arrête en gros rouleaux la mer, le vent frais.
J’ai passé des heures délicieuses à faire le tour de cette île, j’y serais resté beaucoup plus longtemps avec le projet d’y nettoyer tous les déchets plastiques. Quel coup de foudre, elle n’a pas de nom d’après les pêcheurs, mais désormais c’est pour moi, l île Petrushka, une petite plaque discrète sur un palmier en témoigne.
Après deux jours de bonheur et le nettoyage complet de la coque, le samedi 23, notre voyage reprend vers l’Ouest et Porvenir ou nous devons enregistrer Petrushka et faire les formalités d’immigration. On confirme au responsable de la tour de contrôle! le vol de Nathalie le 25 à 6h30. Un petit coucou par Panama City et ensuite la France, via Caracas. Ici à Porvenir, l’influence du tourisme a déjà changé les mentalités, moins de spontanéité. Ce fut une agréable semaine, pour moi une transition avec le départ de ma douce, désormais une autre vie m’attend, celle de navigateur solitaire…. J’espère pas trop longtemps.
Séjour dans les îles St Blas : du 25 décembre 2006 au 7 janvier 2007.
Ce samedi 25, dès 6h00 du matin on attend le coucou, le premier est déjà annulé c’est Noël, mais celui de Nat arrivera avec 1h00 de retard. Directement après je me rends avec l’annexe sur la place principale de Porvenir pour y chercher un peu de fruits et légumes frais pour mon ami Claude (voilier Azzar). Par VHF les jours précédents, il m’a donné sa position exacte, à 10 Nautiques d’ici, un chapelets d’îles tranquilles. Je ne trouve pas grand-chose et lève l’ancre. Seul, tout prend deux fois plus de temps, je sors de la passe et hisse toutes les voiles pour remonter au près vers l île de Salar. La mer est belle, Petrushka, sans gazon ni écailles sur la coque, trace à 5,5 nœuds avec 10/12 nœuds de vent, le pied. Claude me file de bonnes infos et Way Point pour rentrer dans la passe et me regarde débouler sous voiles vers le mouillage. En quelques minutes tout est rentré, il faut rester prudent. Je mouille dans un nouvel endroit splendide, incroyable mais vrai… entouré de dauphins ! nous sommes trois voiliers. Les retrouvailles sont chaleureuses, voila déjà 5 mois que nous nous sommes rencontrés à Grenade ; c’est lui qui a suscité en moi le projet de descendre le Pacifique vers le Sud Chili – Valdivia (40°S). Nous avons désormais un projet commun pour les prochains mois. Le passage du Canal, les Galapagos et une longue navigation vers Valparaiso – Valdivia. Il est super documenté en cartes et cruising guide que je vais dévorer pendant mon séjour.
Les voiliers se succèdent au mouillage. Deux sont particulièrement sympa, Jean Claude et Eliane sur Rock Saphi et Jean Marc et la belle Florence sur Shangrilla. On a passé de belles soirées tous ensemble.
On rivalise d’idées et de prouesses pour les repas du soir et Jean Claude c’est le chef apéro !!!
Je mettrai ces quelques jours de fin d’année à profit pour installer la BLU, réparer la voile de Solent, nettoyer à fond le bateau et l’annexe, installer un ventilo pour refroidir le frigo qui pompe un max d’énergie sous cette chaleur et aussi une foule de petits travaux bien agréables qui font passer rapidement les journée, car la vie seul au mouillage c’est pas mon truc, il me faut de l’action ! Vivement le départ vers Panama.
Séjour dans les îles St Blas : du 25 décembre 2006 au 7 janvier 2007.
Ce samedi 25, dès 6h00 du matin on attend le coucou, le premier est déjà annulé c’est Noël, mais celui de Nat arrivera avec 1h00 de retard. Directement après je me rends avec l’annexe sur la place principale de Porvenir pour y chercher un peu de fruits et légumes frais pour mon ami Claude (voilier Azzar). Par VHF les jours précédents, il m’a donné sa position exacte, à 10 Nautiques d’ici, un chapelets d’îles tranquilles. Je ne trouve pas grand-chose et lève l’ancre. Seul, tout prend deux fois plus de temps, je sors de la passe et hisse toutes les voiles pour remonter au près vers l île de Salar. La mer est belle, Petrushka, sans gazon ni écailles sur la coque, trace à 5,5 nœuds avec 10/12 nœuds de vent, le pied. Claude me file de bonnes infos et Way Point pour rentrer dans la passe et me regarde débouler sous voiles vers le mouillage. En quelques minutes tout est rentré, il faut rester prudent. Je mouille dans un nouvel endroit splendide, incroyable mais vrai… entouré de dauphins ! nous sommes trois voiliers. Les retrouvailles sont chaleureuses, voila déjà 5 mois que nous nous sommes rencontrés à Grenade ; c’est lui qui a suscité en moi le projet de descendre le Pacifique vers le Sud Chili – Valdivia (40°S). Nous avons désormais un projet commun pour les prochains mois. Le passage du Canal, les Galapagos et une longue navigation vers Valparaiso – Valdivia. Il est super documenté en cartes et cruising guide que je vais dévorer pendant mon séjour.
Les voiliers se succèdent au mouillage. Deux sont particulièrement sympa, Jean Claude et Eliane sur Rock Saphi et Jean Marc et la belle Florence sur Shangrilla. On a passé de belles soirées tous ensemble.
On rivalise d’idées et de prouesses pour les repas du soir et Jean Claude c’est le chef apéro !!!
Je mettrai ces quelques jours de fin d’année à profit pour installer la BLU, réparer la voile de Solent, nettoyer à fond le bateau et l’annexe, installer un ventilo pour refroidir le frigo qui pompe un max d’énergie sous cette chaleur et aussi une foule de petits travaux bien agréables qui font passer rapidement les journée, car la vie seul au mouillage c’est pas mon truc, il me faut de l’action ! Vivement le départ vers Panama.
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